Retour au bercail
26 septembre 2014
Parce qu’on n’est jamais mieux que chez soi. En tout cas, c’est ce qu’on dit, mais je me demande bien combien sont ces retournés qui peuvent vraiment dire cela. Ou bien, s’ils le disent, ils doivent élaborer la-dessus. Par là, je veux parler des bons côtés mais surtout, et oui surtout des mauvais côtés.